Par son côté visuel, un emoji choisi de manière pertinente peut apporter de l’impact à un message, pour peu qu’on respecte quelques bonnes pratiques.
A wonderful pen by Vincent Valentin
Une explication très complète et didactique sur les privilèges, le racisme, le racisme ordinaire, la fragilité blanche…
We must start by trying to use the option that damages the environment least, and that is text. Don’t assume that images are automatically more powerful than text. Sometimes, text does the job better.
[…] there is one less round trip until Application Data can be sent in TLS 1.3 as compared to TLS 1.2. This significantly improves performance especially on high latency networks.
However, I noticed that our max TLS version was 1.2 rather than the newer and faster 1.3, as 1.3 removes an extra RTT for a faster handshake. Turns out the version of nginx-ingress we were using was still using 1.2 only as default. A quick ConfigMap change later, and we were on 1.3.
track and measure the performance of sites that use popular JavaScript frameworks and libraries.
Automates ImageOptim, ImageAlpha, and JPEGmini for Mac to make batch optimisation of images part of your automated build process.
It would be useful to have insight into the moment when assistive technology is able to interact with and communicate page content, so that we can know when a page is “ready” for all users, and not just some.
[…] It’d be interesting to know which existing metrics are irrelevant to assistive tech
[…] it might be interesting to measure “jank” and stability in the process of arriving at a usable accessibility tree.
[…] how are metrics like First Input Delay translating to the interaction time that someone experiences when using assistive technology?
Nous pourrions par exemple proposer pour les personnes concernées par le sexisme, donc par la domination des hommes cis hétéro, d’employer le terme de : personnes sexisé.e.s.
La discrimination ne nait pas de qui vous êtes mais du regard discriminatoire.
L'antiracisme est un combat de longue durée, qui va de pair avec l'engagement républicain : nous devons être antiracistes par universalisme, universalistes par antiracisme, citoyen·nes français·es pour qui la république est à tout le monde. […] l'universalisme, s'il n'est qu'un privilège de l'ancienneté, n'est qu'un communautarisme de la majorité.
[…] L'universalisme doit être postcolonial autant que l'antiracisme doit être républicain. Cette double exigence ouvre un questionnement critique qui vise à mettre en lumière le lien entre les blessures du passé et les convulsions du présent dans le but de bâtir un avenir commun.
[…] En France, l'opposition stérile, tendancieuse et superficielle entre antiracisme et universalisme cessera d'être nécessaire le jour où les Blanc·hes n'auront plus peur d'être remplacé·es. Ce jour-là, universalisme antiraciste et antiracisme universaliste seront devenues des tautologies. Nous serons pour de bon en république.
[…] pour les féministes, la phallocratie, que certaines appellent aussi l’androcratie ou le système patriarcal, n’est pas uniquement une domination. C’est aussi un système qui utilise soit ouvertement soit de façon subtile tous les mécanismes institutionnels et idéologiques à sa portée (le droit, la politique, l’économie, la morale, la science, la médecine, la mode, la culture, l’éducation, les mass media, etc.) pour reproduire cette domination des hommes sur les femmes, de même que le capitalisme les utilise pour se perpétuer.
In-depth explanation of how to customize inputs in CSS, add SVG animations and keep everything accessible.
roughViz.js is a reusable JavaScript library for creating sketchy/hand-drawn styled charts in the browser, based on D3v5, roughjs, and handy.
An explanation of how Matt built the UK government's Synthetic Monitoring dashboards.
- Premièrement, il faut les replacer dans leur contexte : ce n’est pas un phénomène nouveau. C’est un processus qui a une histoire. […] on l’appelle la «de-commemoration». […]
- Deuxièmement, il y a une forme de paradoxe puisqu’en temps normal personne ne s’intéresse aux statues. […] Cela doit nous amener à nous interroger sur la signification de ce geste : pourquoi une statue prend sens tout d’un coup ?
- Troisièmement, le déboulonnage est une façon de transformer le sens des statues mais ce n’est qu’une façon parmi d’autres.
Lazy loading strategies for performance gains within React applications.
Cette conception d’un universalisme aveugle aux différences renforce le privilège blanc consistant à ne pas voir le racisme. Bell hooks, intellectuelle états-unienne (dont il semble que les livres ne soient pas traduits en français), écrit :
« Les personnes blanches, quand elles passent individuellement du déni de la race à la conscience de la race, prennent soudainement conscience du fait que la culture suprémaciste blanche encourage les blanc·he·s à nier leur compréhension de la race, à revendiquer comme composante de leur supériorité le fait d’être au-dessus d’une réflexion sur la race. »
Car le privilège blanc sert aussi à se sentir moins raciste que les personnes racisées : « Je ne vois pas la race donc je ne suis pas raciste », peut-on être tenté·e de penser, quand la réalité serait davantage : « Je ne vois pas la race parce que je ne suis pas racisé·e. »
Aussi il me semble capital de le répéter: personne n'est jamais contraint·e de s'engager dans un débat. Nul n'a l'obligation de mettre en péril sa santé mentale dans le cadre d'échanges qui peuvent affecter psychologiquement.
[Marie Dasylva] leur recommande de ne pas consacrer plus de 300 secondes par jour à « parer les interactions racistes, sexistes, validistes » – c'est-à-dire qu'elles ne doivent pas répondre à « l'injonction de pédagogie des dominants » plus longtemps que cette durée.
"Est racisé.e celle ou celui susceptible d’être assigné.e à une catégorie raciale, c’est-à-dire perçu.e comme appartenant à un groupe altérisé, distinct du groupe majoritaire ; comme un groupe homogène partageant des pratiques, des manières d’être, de vivre et de penser. Ce mot remplace opportunément d’autres termes, qui pèchent par une euphémisation ridicule («diversité»), prennent au sérieux le critère génétique («minorité visible») ou naturalisent des groupes pourtant artificiels («minorité ethnique»). Le qualificatif ne désigne donc pas une qualité de l’être, mais une propriété sociale. Non pas une identité, mais une position dans la société, résultant d’un processus collectif : la racisation."